La presse classe régulièrement les plus grosses fortunes de France, détachant en particulier les plus brillantes trajectoires immobilières et les plus riches négociateurs du BTP. Retour sur quelques unes des entreprises mises en lumière par les magazines Challenge et le Nouvel Observateur en 2013.
Le groupe Vicat.
Le cimentier a de quoi bétonner même pendant la crise ! Avec un chiffre d’affaires de 2,3 milliards, la famille de Jacques Merceron-Vicat, qui en est à sa sixième génération directrice, risque fort de continuer à peser lourd sur le paysage constructeur français.
Le groupe Apavou.
L’entreprise familiale d’Armand Apavou loge un habitant sur dix de l’île de la Réunion, possède un parc hôtelier de plus de 1300 chambres, et règne sur une propreté foncière de plus de 400 000 mètres carrés. En bref, pas un seul nuage à l’horizon immobilier…
Le groupe Promogim.
Certes un peu ralenti, mais franchement rentable, la société familiale de Christian Rolloy affiche un chiffre d’affaires de 770 millions d’euros, et se place de façon évidente et prometteuse sur le podium des promoteurs français les mieux lotis.
La holding Batipart.
Quand l’ancien directeur financier d’Usinor pendant la tête d’une holding active en partenariats financiers et industriels, cela engendre l’acquisition par Batipart de plus d’un tiers du groupe Jardiland, la possession de tout un empire immobilier, et l’achat de nombreuses participations dans des établissements de retraite.
Le groupe Pichet.
40 000 mètres carrés de gestion locative et 4000 lits en parc hôtelier : voilà le trésor accumulé avec succès par l’entreprise de Patrice Pichet. Et avec 311 millions de chiffre d’affaire, on peut dire que la stratégie spéculative bordelaise a du bon…
Le groupe Orpea.
En choisissant de miser sur les maisons de retraite, Jean-Claude Marian, le président fondateur du groupe aux 843 millions de chiffre d’affaires et aux plus de 430 établissements a vu juste, et fructueux.