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Bûche ramoneuse : bonne ou mauvaise idée

Avoir une maison équipe d’une cheminée est toujours très agréable. De plus, ce dispositif de chauffage permet d’ajouter de la convivialité et une certaine élégance au sein de votre domicile. Cependant, il doit être entretenu et nettoyé avec rigueur pour éviter les éventuels accidents. Effectivement, des conduits de fumée sales et non entretenus peuvent provoquer des problèmes de santé et causer des incendies. Ci-après, vous allez découvrir un procédé de nettoyage de cheminée de plus en plus pratiqué : le ramonage chimique avec une bûche ramoneuse.

Une bûche de ramonage : qu’est-ce que c’est au juste ?

Une bûche de ramonage ou une bûche ramoneuse a le même aspect que les bûches de chauffage classique. Toutefois, elle est fabriquée avec de sciure de bois et du sulfate de cuivre et de sels minéraux métalliques. Lorsqu’on le met au feu, elle va dégager des substances diverses dont elle est constituée pour décoller les détritus accumulés sur les parois internes des conduits de fumée de la cheminée.

Bien que l’utilisation d’une bûche ramoneuse soit une option pratique pour entretenir votre appareil de chauffage, elle doit tout de même être utilisée avec précaution. De plus, vous devez bien choisir vos produits, car certains peuvent représenter des dangers. Mis à part cela, il faut noter que les bûches de ramonage ne peuvent remplacer en rien le recours aux services d’un ramoneur professionnel. Seul un expert peut garantir la propreté, l’efficacité, le bon fonctionnement et la performance de votre dispositif de chauffage.

L’utilisation d’une bûche de ramonage : comment faire ?

En général, l’utilisation d’une bûche de ramonage est très facile et ne requiert aucune compétence spécifique. Il est alors recommandé de nettoyer votre appareil de chauffage avec cette technique au moins 3 fois par an. Cependant, l’intervention d’une équipe de professionnels comme cette entreprise de ramonage de cheminée dans le 93 sur ce site pour un ramonage mécanique est obligatoire une ou deux fois par an.

En outre, il y a des précautions à prendre quant à l’utilisation d’un tel élément. Sachez aussi que l’utilisation de ce produit est strictement déconseillée si votre appareil de chauffage est bouché. Dans ce genre de cas, seuls les services d’un ramoneur professionnel sont adaptés. Voici alors les étapes à respecter pour entretenir votre cheminée à l’aide d’une bûche ramoneuse :

  • Allumer un feu dans la cheminée
  • Laisser le feu brûler pendant environ 3 heures
  • Placer la bûche ramoneuse sur les braises
  • Laisser la bûche brûler pendant environ 2 heures

Lors de la combustion, la bûche va enlever les différents éléments et déchets collés sur les parois internes des conduits. Ainsi, la fumée qui s’évacuera sera plus noire. Mais certains éléments pourraient aussi retomber dans le foyer. Et c’est pour cela qu’il faut mettre en place une protection adaptée sur la façade.

Quels sont les avantages d’utiliser une bûche de ramonage ?

L’utilisation d’une bûche de ramonage pour nettoyer une cheminée présente de nombreux avantages non négligeables. Parmi ceux-ci, il y a :

  • Son prix très bas et accessible à tous
  • Son utilisation extrêmement facile
  • Son action très rapide

En plus de cela, les bûches ramoneuses sont inodores et ne dégagent aucun élément nocif pour la santé

Comment préserver le bon état d’une toiture en ardoise ?

L’ardoise fait partie des revêtements de toiture les plus appréciés. Elle se caractérise par son élégance et sa durabilité. Ce matériau est également prisé pour son caractère écologique et ses performances thermiques. Pour profiter des avantages qu’il a à offrir, il est cependant crucial de l’entretenir régulièrement. Dans cet article, nous vous dévoilerons les étapes des travaux d’entretien d’une toiture en ardoise. Découvrez dans les lignes qui suivent comment préserver son bon état et optimiser sa longévité.

Étape 1 : L’inspection de la toiture en ardoise

Si vous avez une toiture en ardoise, nous vous conseillons de vérifier régulièrement son état. Une inspection périodique permet en effet de repérer les dommages et de prévoir les travaux à effectuer pour les réparer. Après le passage d’une tempête ou d’une forte intempérie, il se peut que certaines ardoises soient fissurées, cassées ou déplacées.
Cependant, l’inspection ne se limite pas uniquement au revêtement du toit. Vous devez également porter une attention particulière aux autres éléments de la toiture comme la charpente, l’isolation et la ventilation. En raison de l’importance de cette étape, nous vous recommandons de la confier à un professionnel comme cette entreprise de couverture en Loir et Cher que vous pouvez contacter sur ce site pour vous aider durant l’inspection.

Étape 2 : Le nettoyage de la toiture en ardoise

Pour préserver la solidité des ardoises, il est important d’éliminer les saletés qui se sont accumulées sur la toiture avec le temps. Les débris de feuilles, les mousses, les lichens et tout autre débris retiennent en effet l’eau de pluie. Outre les risques d’infiltration, celle-ci rend le revêtement plus poreux et plus fragile. Par conséquent, un nettoyage régulier de la toiture en ardoise est nécessaire.
Pour ce faire, il suffit de balayer les saletés avec une brosse à longs poils doux et un peu d’eau savonneuse. Le nettoyeur à haute pression est à éviter, car il risque d’abîmer les ardoises.

Étape 3 : Le remplacement des ardoises défectueuses

Les ardoises déplacées devront être remises à leur place. Quant à celles qui présentent des fissures ou qui sont cassées, l’idéal est de les remplacer. Ici encore, l’intervention d’un couvreur professionnel est préconisée. D’ailleurs, cette opération requiert du savoir-faire. De plus, elle n’est pas à la portée d’un bricoleur du dimanche.
Sachez que le remplacement des ardoises défectueuses prévient non seulement les infiltrations d’eau. Il évite également les dégâts que l’humidité peut occasionner sur les composants de la toiture et l’intérieur de l’habitation.

Étape 4 : La réparation des accroches

Les attaches des ardoises sur le toit peuvent être faites de différents matériaux, selon les préférences régionales, les pratiques de construction et les normes locales. Selon les cas, on peut utiliser des crochets en cuivre ou en acier inoxydable, des agrafes en zinc, des agrafes en aluminium ou encore des agrafes en plastique.
Avec le temps et sous l’effet des intempéries répétitives, ces éléments de toiture peuvent cependant se détériorer. Il faudra ainsi vérifier régulièrement leur état et les remplacer, si besoin est.

Étape 5 : L’entretien des gouttières

Il est essentiel de maintenir les gouttières propres et dégagées pour permettre la bonne évacuation des eaux de pluie. A ce titre, il faudra les débarrasser de toutes les saletés qui logent leur conduit. Le nettoyage des gouttières permet d’éviter les débordements d’eau sur la toiture et donc, les risques d’endommager les ardoises.

Quelle méthode utiliser pour isoler la toiture d’une maison ancienne ?

Investir dans une maison ancienne est une alternative intéressante lorsqu’on ne peut pas se permettre d’acheter du neuf. Mais la plupart du temps, quelques travaux de réparation sont à prévoir pour assurer le confort à l’intérieur de celle-ci. Parmi ces opérations, il y a l’isolation de la toiture. Elle empêche non seulement les déperditions thermiques, mais réduit également la consommation énergétique et optimise le confort des résidents. Pour isoler le toit d’une maison ancienne, quelle méthode peut-on utiliser ? Découvrez les réponses dans les lignes qui suivent.

Quelle solution adopter pour isoler la toiture d’une bâtisse ancienne ?

Les toitures des maisons anciennes sont dépourvues d’isolation dans la majorité des cas. Au-dessus des poutres apparentes, on aperçoit directement le revêtement. C’est pourquoi les habitations anciennes sont pour la plupart très énergivores. Pour y remédier, l’installation d’un système d’isolation thermique efficace est de rigueur. L’intervention d’un professionnel comme cet artisan couvreur en Ariège sur ce site : https://www.entreprise-couverture-09.fr est préconisée pour exécuter cette opération. Selon les cas, cet artisan peut opérer :

Une isolation par l’intérieur de la toiture

S’il n’y a aucun élément isolant au niveau du toit de la maison ancienne au moment de l’achat, une isolation thermique par l’intérieur est envisageable. Par conséquent, on peut directement installer des rouleaux d’isolants sur le plancher des combles. Dans la mesure où vous comptez transformer ces derniers en pièce à vivre, il faudra poser les isolants en sous toiture, c’est-à-dire entre les chevrons et les poutres. Dans les deux cas, la superficie des combles reste inchangée malgré les travaux d’isolation. Dans le cas des combles perdus, l’isolation de la toiture peut se faire à l’aide de panneaux d’isolants à aligner sur les planchers ou à l’aide de la méthode de soufflage.

Une isolation par l’extérieur de la toiture

Cette méthode est plus privilégiée, car elle est réputée pour son efficacité. Comme son nom l’indique, les isolants sont directement posés sur la charpente depuis l’extérieur de la bâtisse. Des panneaux sandwich et des isolants en mousses sont fréquemment utilisés pour cela. Dans les deux cas, la pose des isolants requiert la dépose du revêtement au préalable. Comme cette technique est plus contraignante, sa mise en œuvre se révèle plus coûteuse. Malgré cela, il est conseillé de confier les travaux à un couvreur professionnel.

Quels types d’isolants utiliser pour isoler la toiture d’une maison ancienne ?

Pour isoler les combles d’une maison ancienne, on peut utiliser différents matériaux, à savoir :

Des isolants naturels

Les isolants naturels sont un choix très respectueux de l’environnement. Outre leur caractère écologique, il possède de nombreuses qualités. En plus d’être économiques, ces isolants permettent en effet un confort optimal. Ils répondent parfaitement aux normes européennes en matière de conductibilité thermique et réduisent le taux d’humidité dans la maison grâce à leur système de régulation hydrométrique. Parmi les isolants naturels, on peut citer la plume, la laine de mouton ou de brebis, l’ouate de cellulose, le liège, la laine de coton et de chanvre ou encore la fibre de bois.

Pour savoir quel type d’isolant répond le mieux à vos besoins, n’hésitez pas à demander l’avis d’un artisan-couvreur.

Des isolants minéraux

Ils sont conçus à partir du sable, du basalte ou de verre recyclé. Les isolants minéraux présentent également de multiples avantages. En effet, ils sont incombustibles. Ce qui les rend très efficaces pour prévenir les infiltrations d’air froid. En outre, leur installation se fait aisément malgré les risques de dégagement de poussière. Enfin, ils sont abordables et possèdent une bonne longévité. Parmi les isolants minéraux, on peut citer la laine de verre, la laine de roche et le verre cellulaire.

Des isolants synthétiques

En l’occurrence, il s’agit du polystyrène, du polyuréthane et de la mousse phénolique. Ces isolants sont dotés d’une bonne résistance thermique ainsi qu’une grande capacité de rétention de charge et d’eau. Les isolants synthétiques offrent en outre une isolation de qualité. Malgré leur processus de fabrication, l’impact de leur utilisation sur l’environnement reste minime.

Le ramonage manuel : une nécessite pour le bon fonctionnement devotre cheminée

De plus en plus de foyers utilisent actuellement des cheminées en tant que dispositif de chauffage. Toutefois, comme tous les autres appareils qui fournissent de la chaleur, celles-ci nécessitent des entretiens périodiques et des travaux de maintenance appropriés. Parmi ces opérations, on retrouve le ramonage manuel. Pour tout savoir à ce propos, parcourez les prochaines lignes.

Définition du ramonage manuel

Le ramonage est non seulement nécessaire, mais il est aussi obligatoire. Effectivement, la règlementation en vigueur est très claire concernant l’entretien des conduits d’évacuation de fumée des appareils de chauffage qui fonctionnent avec des combustibles solides ou gazeux. Mais en fonction de la région, cet entretien peut être réalisé une ou deux fois par an. Toutefois, il ne s’agit pas de n’importe quelle opération. Cette fréquence concerne particulièrement le ramonage mécanique ou le ramonage manuel. A noter que ce type d’entretien nécessite l’intervention d’un ramoneur certifié qui sera en mesure de vous remettre un certificat de ramonage.

Le ramonage manuel peut être fait par le toit ou par l’âtre. Cependant, la deuxième option est la plus prisée, car les travaux effectués sur le toit peuvent être dangereux. Quoi qu’il en soit, le ramonage mécanique ou manuel consiste à nettoyer directement les parois internes des conduits de fumée. Le but de cette action est d’enlever les suies et tous les autres dépôts accumulés dans les conduits. Pour ce faire, le ramoneur va se servir d’un hérisson associé à une ou plusieurs cannes qu’il va faire passer dans les canaux pour y éliminer toutes les saletés déposées.

Mieux vaut le combiner à un ramonage chimique

Certes, le ramonage mécanique permet d’enlever certains dépôts. Toutefois, il n’enlèvera pas les bistres. Il faudra donc l’associer à un ramonage chimique pour une efficacité optimale. Ce type d’entretien peut être réalisé 2 semaines avant le ramonage mécanique pour fragiliser les dépôts et rendre l’opération moins fastidieuse et plus efficace.

Pour ce faire, vous devez tout simplement acheter des bûches ramoneuses ou des poudres de ramonage et de les faire brûler dans la cheminée. Cependant, avant de procéder vous-même à un tel entretien, demandez d’abord l’avis de votre ramoneur. Assurez-vous qu’il soit d’accord afin que vous fassiez au préalable un ramonage chimique, car certains ramoneurs peuvent refuser que vous interveniez avant lui sur l’appareil de chauffage à entretenir.

Confier votre ramonage manuel à un professionnel

Lorsqu’il s’agit d’entretenir un système de chauffage à combustible comme une cheminée, le recours aux services d’un professionnel comme cet artisan ramoneur dans le Calvados sur ce site est souvent recommandé. En effet, il existe de nombreuses raisons qui font que l’appel à ce professionnel est vivement conseillé, à commencer par la législation. Il existe une loi qui vous oblige de faire ramoner au moins une fois par an votre cheminée par un expert en la matière.

Outre cela, la qualité de l’entretien doit aussi vous encourager à solliciter un ramoneur. Le ramonage implique non seulement de gratter les parois internes à l’aide d’un hérisson, mais il faudra aussi récupérer les déchets et nettoyer la pièce en question. Alors, seul un ramoneur agréé sera en mesure de garantir un travail de qualité. Enfin, il peut vous donner des conseils sur l’entretien de votre appareil pour que celui-ci puisse garantir bien ses fonctions.

Guide pratique pour prévenir et résoudre les problèmes récurrents de cheminée

Aujourd’hui encore, beaucoup utilisent la cheminée pour se chauffer durant les saisons froides. Le charme de cet appareil de chauffage séduit en effet plus d’un. De plus, il crée une atmosphère chaleureuse et réconfortante dans la maison. Pour qu’une cheminée fonctionne correctement, il faut toutefois l’entretenir régulièrement. En effet, le défaut d’entretien peut provoquer une baisse de ses performances. Il peut surtout engendrer de sérieux problèmes. Justement, cet article vous servira de guide pour prévenir et résoudre ces derniers.  

Zoom sur les signaux avant-coureurs des problèmes de cheminée 

Il faut rester attentif face à certains symptômes qui témoignent du mauvais état ou du dysfonctionnement de la cheminée. Des travaux de réparation devront en effet être entrepris en cas de : 

Fumée anormale et problème de tirage 

On peut facilement déceler un problème de tirage grâce au refoulement de la fumée vers l’intérieur de la maison. L’obstruction et l’encrassement du conduit d’évacuation sont à l’origine de ce phénomène. En effet, la fumée ne peut être évacuée correctement à cause des résidus de suies, de goudrons et de créosotes dans le conduit. Un tel problème survient lorsque le ramonage n’a pas été fait à temps. Pour y remédier, il est conseillé de faire appel à cet artisan ramoneur dans le 60 pour les travaux d’entretien. 

Accumulation excessive de suies et de goudrons 

Les couches de suies et de goudrons s’accumulent rapidement quand la cheminée ne fonctionne pas correctement. Cela résulte le plus souvent d’un problème de tirage et d’utilisation de mauvais combustibles. 

Odeurs désagréables 

La cheminée peut produire une forte odeur âcre et désagréable lors de la combustion. Cela résulte de l’accumulation de créosotes dans le foyer et le conduit. Pour prévenir les feux de cheminée, il faut rapidement se débarrasser de ces substances. 

Défauts structurels et baisse de performances de la cheminée

Au fil du temps, des fissures peuvent apparaitre sur la paroi du conduit d’évacuation. Pour éviter son effondrement, il faudra réagir rapidement. D’ailleurs, ces défauts structurels affectent les performances de la cheminée. Celle-ci consommera alors plus de combustibles, mais chauffera moins. 

Quelles solutions adopter pour éviter et résoudre ces problèmes de cheminée ? 

Lorsque l’un de ces signes apparaît, des précautions devront être prises rapidement. L’intervention d’un ramoneur professionnel reste néanmoins recommandée. Selon les cas, il faudra : 

Ramoner et entretenir la cheminée 

Pour des raisons de sécurité, il vaut mieux effectuer des travaux d’entretien régulièrement. À ce titre, il est plus judicieux de ramoner la cheminée au moins une fois par an pour prévenir les problèmes récurrents. En effet, le ramonage permet de débarrasser le conduit des couches de suies et de goudrons qui se sont accumulées avec le temps. Sa mise en œuvre prévient les risques d’incendie et les risques d’intoxication au monoxyde de carbone.  

Utiliser les bons combustibles 

Il est essentiel de choisir judicieusement les combustibles. L’idéal est d’utiliser du bois sec et dur. En plus de brûler proprement, il produit moins de créosotes. En outre, il faut éviter de brûler des matériaux inappropriés à l’instar des papiers journaux, des déchets ménagers ou encore des déchets plastiques. En plus de favoriser l’encrassement du conduit, ces matériaux peuvent émettre des substances toxiques à la combustion. 

Contrôler périodiquement l’état de la cheminée 

Une vérification de l’état de la cheminée et du conduit d’évacuation est effectuée à l’occasion du ramonage annuel. Ici encore, l’intervention d’un ramoneur professionnel est préconisée. Cet artisan va en effet s’assurer que l’équipement de chauffage est en état de fonctionner. En cas de soucis, il prendra les mesures nécessaires pour préserver son intégrité.

Le terrassement par aspiration : focus sur les spécificités de cette technique innovante

La préparation du terrain occupe une place importante dans tout projet de construction. En effet, des travaux de terrassement sont effectués afin d’aplanir et de stabiliser le sol, car une maison ou un bâtiment a besoin d’une assise solide. Pour leur réalisation, les professionnels du domaine peuvent utiliser différentes techniques. Mais dans cet article, nous allons nous focaliser sur les particularités du terrassement par aspiration. Découvrez ! 

Le terrassement par aspiration : en quoi consiste-t-il ?  

Le terrassement par aspiration implique le déblaiement d’un terrain en profondeur par aspiration des matériaux. Pour sa mise en œuvre, un engin spécial appelé « excavatrice aspiratrice » est utilisé. Il s’agit d’un aspirateur géant équipé d’une benne qui récupère les gravats. Il est également muni d’un système de déversement qui assure l’extraction des différents matériaux comme la terre, les pierres, le sable, l’eau ou encore les déchets verts. 

Comme vous l’aurez compris, la particularité de cette technique réside dans le type de matériel utilisé pour sa mise en œuvre. On peut tout à fait l’appliquer sur une large variété de terrain. Les canalisations, les câbles et toutes autres infrastructures sur ce dernier seront d’ailleurs préservés malgré les travaux de terrassement. Pour l’exécution de ces derniers, il est toutefois conseillé de faire appel à cet artisan terrassier dans le 38 pour appliquer cette nouvelle méthode. 

Pourquoi opter pour cette technique de terrassement ? 

Les experts en travaux de construction ont couramment recours à la méthode de terrassement par aspiration. En effet, elle présente des avantages considérables. 

D’une part, il s’agit d’une technique facile à mettre en œuvre et plus respectueuse de l’environnement. Contrairement à la pelle mécanique, les travaux de terrassement se font plus discrètement grâce à l’excavatrice aspiratrice. En effet, celle-ci aspire et stocke directement les gravats dans sa benne intégrée. Ce qui limite la diffusion des matériaux nuisibles et de la poussière dans l’air. 

D’autre part, sa réalisation est envisageable dans les espaces restreints. Les terrassiers professionnels l’utilisent généralement pour le terrassement des terrains en zone urbaine, pour déblayer les passages étroits ou pour dégager les canalisations dans le but de les réparer ou de les remplacer. Cette technique permet également d’assécher les bases d’une construction.

Enfin, le terrassement par aspiration offre un gain de temps considérable. Même si sa mise en œuvre est plus coûteuse qu’une méthode classique, elle permet néanmoins de réduire considérablement la durée du chantier. 

En conclusion, le terrassement par aspiration est une technique innovatrice qui permet de préparer aisément un terrain à construire. Un engin spécial, en l’occurrence « l’excavatrice aspiratrice », est utilisé pour sa mise en œuvre. L’usage d’un tel engin est d’ailleurs avantageux sur différents points. En plus de faciliter les travaux de terrassement, il permet d’intervenir dans les espaces étroits et d’élimer une vaste variété de matériaux. Il réduit également la durée du chantier. Néanmoins, le recours aux services d’un terrassier professionnel est incontournable pour cette méthode. Pour avoir une idée du coût de son intervention, n’hésitez pas à lui demander un devis de vos travaux de terrassement. 

Construire intelligemment : pourquoi opter pour des fondations en semelles filantes ?

La réalisation des fondations constitue la première étape de toutes constructions de bâtiments. Elles assurent en effet leur assise au sol et leur stabilité. En fonction de la superficie de la construction, de la nature du terrain et de la charge qu’il supportera, on peut d’ailleurs choisir entre différentes sortes de fondations. Malgré cela, beaucoup choisissent les semelles filantes pour rattacher le sol de la structure. Dans cet article, nous allons aborder les principales raisons qui les poussent à faire ce choix. Découvrez !

Les fondations en semelles filantes, c’est quoi exactement ?

La création des fondations est une étape incontournable dans toutes constructions. En effet, elles transmettent et répartissent les charges que supporte l’ouvrage dans le sol. Leur type et leur profondeur dépendront néanmoins de la portance du sol.

Les semelles filantes comptent parmi les fondations dites « superficielles », car elles sont peu profondes. En effet, elles ne requièrent pas le creusement de profondes tranchées pour les préserver du gel. Elles sont couramment utilisées dans le cas d’une construction supérieure à 20 m². Leur réalisation n’est toutefois envisageable que sur un sol plat et homogène.

En général, une semelle filante fait en moyenne 50 cm de profondeur et 50 cm de largueur. Quant à sa profondeur, elle est d’au moins 25 cm. Ces paramètres peuvent néanmoins varier en fonction des caractéristiques du terrain. C’est pourquoi il est conseillé de faire appel à cette entreprise de maçonnerie dans le 31 pour la mise en œuvre de ce type de fondation.

Pourquoi choisir des semelles filantes pour vos constructions ?

Les fondations en semelles filantes font partie des plus appréciées pour de nombreuses raisons.

D’une part, leur création est particulièrement aisée. Comme susmentionné, il n’y a nul besoin de creuser de profondes tranchées. Il suffit simplement de décaper la terre végétale sur une profondeur d’au moins 20 cm, de délimiter et tracer l’emplacement des semelles filantes et de procéder au creuser les tranchées. Viennent ensuite le ferraillage des fondations et le coulage du béton. S’il est facile de décrire les étapes de leurs créations, leur réalisation devra en revanche être confiée à un maçon professionnel pour garantir la stabilité de la structure.

D’autre part, le coût de leur réalisation est particulièrement abordable. C’est ce qui fait de ces fondations un choix très économique. En effet, il faut en moyenne compter entre 100 € et 200 € HT par m3 pour les travaux. Ce tarif inclut en principe la main-d’œuvre et les fournitures. Malgré cela, il est à noter que chaque entreprise spécialisée en travaux de maçonnerie applique un tarif différent en fonction de divers paramètres (ex. : nature du sol, durée des travaux, emplacement du chantier, etc.). Avant toutes choses, pensez donc à demander un devis auprès du maçon de votre choix.

Enfin, les semelles filantes vous permettent d’éviter les dislocations des maçonneries. Même si elles sont peu profondes, elles ont la capacité de supporter des charges importantes telles que les poutres et des murs porteurs. Dans tous les cas, leur réalisation devra se faire dans le respect des normes de la construction et, en particulier, le DTU 13.1.

Toiture de maison : comment éviter l’usure prématurée des tuiles ?

Aujourd’hui, on peut utiliser différents matériaux pour habiller la toiture de notre maison. Malgré cela, les tuiles en terre cuite sont jusqu’ici les plus appréciées. En plus de leur esthétique, ce revêtement est résistant et dispose également d’une bonne performance en termes d’isolation. Pour préserver ces qualités, il faut cependant assurer son bon état. Nous allons justement en parler. Cet article va en effet servir de guide pour éviter l’usure prématurée des tuiles. Découvrez !

Le nettoyage de la toiture, une solution simple et efficace contre son vieillissement

Au fil du temps, diverses sortes de saletés s’accumulent sur le toit de notre habitation. À côté des résidus de végétaux et de la poussière, des traces noires et verdâtres apparaissent. En l’occurrence, il s’agit des algues, des mousses et des lichens qui se sont développés sur les tuiles.

Il faut savoir que ce sont ces parasites végétaux qui favorisent le vieillissement précoce de ces dernières. En plus d’accentuer leur porosité, ces pollutions vertes vont en effet les fragiliser. C’est pourquoi il faut s’en débarrasser. Pour ce faire, un nettoyage régulier de la toiture devra être fait. Ici, le recours aux services d’un couvreur est vivement recommandé. En fonction de l’état des tuiles, cet artisan va appréhender un nettoyage à haute pression ou opter pour une technique plus douce, à savoir le nettoyage à la brosse.

Procéder à l’hydrofugation des tuiles après les travaux de nettoyage 

Le nettoyage du toit ne suffit pas à éliminer définitivement les champignons et les mousses. Pour éviter qu’ils réapparaissent sous peu, l’hydrofugation de la toiture est préconisée.

Concrètement, cette opération consiste à appliquer sur les tuiles une solution hydrofuge. Faite à base de fongicide et d’algicide, cette dernière permet de stopper le développement des pollutions vertes. Outre ce bienfait, ce produit renforce également les tuiles. En effet, il vient combler les pores et les petites fissures apparus avec le temps. En plus de les consolider, il optimise également leur étanchéité.

Il est à noter que différents types de produits hydrofuges sont disponibles sur le marché. Cependant, il faut utiliser un produit adapté aux tuiles en terre cuite pour éviter les risques de corrosion. Pour mettre la main sur le bon produit, faire appel à un couvreur professionnel reste le choix le plus judicieux.

Vérifier l’état des tuiles de temps en temps 

Il est important de contrôler l’état de la toiture régulièrement. Le plus souvent, une vérification est effectuée à l’issue d’une tempête, de l’hiver ou d’une forte intempérie. Cette opération permet en effet de détecter les traces d’usures sur les tuiles. C’est aussi l’occasion de vérifier si elles sont bien en place.

Par conséquent, des travaux de réparation devront être programmés dans le cas où certaines tuiles manqueraient ou dans le cas où elles seraient endommagées. Ici encore, il est conseillé de faire appel à un professionnel.

En bref, le nettoyage de la toiture permet de ralentir le vieillissement des tuiles. Pour éviter le développement des mousses et favoriser l’étanchéité de ces revêtements, il faudra cependant le compléter avec l’hydrofugation. En outre, il est préconisé de contrôler régulièrement l’état du toit. Pour l’ensemble de ces opérations, il est recommandé de solliciter cette entreprise de couverture expérimentée à Rouen. Elle enverra le meilleur artisan qui connaît et maîtrise toutes les étapes à suivre pour bien entretenir votre toit.

Fin de la période de chauffe : conseils pour l’entretien de votre cheminée

Les beaux jours sont de retour, votre cheminée peut désormais prendre un repos bien mérité jusqu’à la prochaine saison froide. Mais avant cela, il faudra se pencher sur son entretien. C’est justement ce dont nous allons parler dans cet article. Découvrez comment prendre soin de votre cheminée à la fin de la période de chauffe

Quelles tâches effectuer à la fin de la période de chauffe ? 

Beaucoup utilisent encore la cheminée pour se chauffer en hiver. Cet équipement de chauffage traditionnel peut en effet venir en renfort aux appareils modernes. Il peut éventuellement servir de chauffage central. Pour garantir ses performances et sa longévité, il est cependant crucial de l’entretenir correctement. Pour cela, il est conseillé de recourir à un professionnel pour effectuer les travaux dans les règles d’arts.

À la fin de la période de chauffe, il est essentiel de porter attention à certains points. Pour s’assurer que la cheminée continue à fonctionner correctement, il faut :

Vérifier l’état de la cheminée et de son conduit de fumée 

Un diagnostic de la cheminée est réalisé à la sortie de l’hiver. Cela permet de constater les éventuelles traces d’usures et de déterminer les opérations à entreprendre pour remettre la cheminée en état.

Ramoner le conduit d’évacuation

À la sortie de la période de chauffe, le ramonage de la cheminée est incontournable. Il consiste à retirer les couches de suies et de goudrons qui se sont accumulées dans le conduit d’évacuation au cours de l’hiver. L’opération se fait mécaniquement grâce à une brosse spéciale appelée « hérisson ». Ici encore, il est recommandé de solliciter l’aide d’un ramoneur pour obtenir un résultat optimal.

Réparer les éventuels dommages

Si la cheminée présente des traces d’usures, des travaux de réparation devront être engagés. C’est notamment le cas lorsque le conduit présente des fissures. On peut également profiter de cette occasion pour travailler le tirage de la cheminée. Elle n’en sera que plus performante à l’issue de cette opération.

Pourquoi engager une entreprise de ramonage de cheminée pour entretenir votre cheminée à la fin de la période de chauffe ?

Pour des raisons économiques, beaucoup préfèrent se passer de l’aide d’un ramoneur pour l’entretien de leurs cheminées. Pourtant l’intervention de cet artisan est bénéfique sur différents plans.

D’une part, elle constitue un gage d’un travail bien exécuté. Le ramoneur accorde en effet une attention particulière aux travaux d’entretien de la cheminée pour éviter les risques liés à leur mauvaise exécution. En plus du ramonage, il veillera à l’étanchéité du conduit de fumée et prodigue à son client des conseils précieux pour préserver les performances de son équipement de chauffage.

D’autre part, embaucher une équipe de professionnel comme cette entreprise de ramonage de cheminée dans le 66 sur ce site : ramonage-cheminee-66.fr par exemple, c’est se ranger du côté de la loi. En effet, son intervention est exigée par les compagnies d’assurances dans la majorité des cas. À l’issue des travaux d’entretien, ce spécialiste doit en effet remettre à son client un certificat de ramonage. Ce document est exigé par l’assureur en cas de sinistre. Engager un ramoneur agréé vous permet ainsi d’éviter les pertes financières en cas d’incident. En l’absence du certificat de ramonage, aucune indemnisation ne sera en effet accordée.