Archives de l’auteur : Immobillet

investissement dans un bien avec travaux

Investissement immobilier, faut-il ou non investir dans un bien nécessitant des travaux ?

À l’heure qu’il est, la pierre attire beaucoup de personnes d’autant plus qu’elle est encore qualifiée de valeur sûre. Bien qu’elle soit attractive, beaucoup de critères sont à prendre en compte pour que l’investissement soit couronné de succès. En effet, il n’est plus à dire qu’investir dans l’immobilier constitue pour beaucoup, le projet de toute une vie, que de ce fait, pour garantir le succès du projet, il est nécessaire voir vital de faire les bons choix, de prendre les bonnes décisions. Et s’il y a bien un choix qui est toujours sujet à débat, ce n’est autre que de décider s’il faut investir dans un bien neuf ou plutôt investir dans un bien ancien, nécessitant des travaux.

 

Pourquoi il ne faut pas avoir peur d’investir dans un bien nécessitant des travaux ?

Une tendance s’affirme actuellement, celle des investisseurs qui reculent devant un bien immobilier nécessitant des travaux. De nombreuses raisons peuvent expliquer ce genre de décision et dans la majorité des cas, cela s’explique par le fait de ne pas vouloir engager d’autres frais, d’autres coûts liés à l’investissement. Ce type de raisonnement n’est pas faux, mais cela ne veut pour autant pas dire qu’il faut condamner les biens nécessitant des travaux. Loin de là, car les professionnels de l’immobilier nous rappellent qu’investir dans un bien immobilier ancien à rénover présente de nombreux avantages.

Parmi les avantages, nous pouvons citer par exemple la disponibilité de ce type de bien. Les logements anciens sont très répandus sur le marché, de plus ils sont généralement très bien placés (au cœur de la ville, à proximité des lieux de travail, d’études, des commerces, des transports…). Ce qui fait que si par la suite, vous mettiez votre bien en location, il trouvera facilement preneur, il en est de même si vous décidiez de revendre plus tard.

Un bien ancien ne signifie pas pour autant qu’il faut engager de gros travaux. En effet, en fonction de l’état du bien, les travaux peuvent être moindres et les frais engagés également. Il est toute à fait possible, qu’un bien qui n’est pas en si mauvais état, avec des petits travaux comme repeindre les murs, changer les revêtements de sol, investir dans un plafonnier led de chez cote-lumiere.fr pour le côté design et vous aurez un logement au gout du jour.

Dans le cas d’un investissement immobilier dans l’ancien, il est fortement conseillé de faire appel à un professionnel pour qu’il puisse pratiquer un état des lieux ou plus précisément pratiquer un diagnostic immobilier. Pour plus d’informations, visitez cette page https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/N20591.

Enfin, s’il y a un avantage à ne pas oublier lorsqu’il s’agit de choisir entre un bien neuf et un bien ancien, c’est n’est autre que le prix. Le prix du bien ancien est de loin plus abordable que celui du neuf. Concernant les avantages fiscaux, l’investissement dans le neuf est le plus avantageux, mais n’oublions pas que les travaux de rénovation eux peuvent être financés par les différents aides de l’État (PTZ par exemple).

 

Des travaux ciblés, pour des dépenses contrôlées

Dans l’ancien, les coûts des travaux varient en fonction de l’état du logement, de la taille et de la localisation du logement. Il faut prévoir environ 1000€/m² pour des travaux de rénovation, à titre d’exemple, vous devez prévoir entre 3000 et 4500€ pour remettre à neuve une salle de bain. Il ne s’agit pas d’investir dans du luxe et non plus se rabattre sur des produits de mauvaise qualité, à titre de référence, sur le site cote-lumiere.fr, vous pouvez trouver un miroir éclairant avec très bon rapport qualité/prix.

Pour identifier les travaux prioritaires, le plus simple c’est d’identifier les travaux améliorant le confort des occupants. A ce titre, les travaux prioritaires concernent essentiellement l’amélioration du système de chauffage, les travaux d’isolation thermique (murs, sols, toiture, combles habitables), le changement des portes et fenêtres.

Les travaux de rénovation permettent de faire des économies d’énergies, de bénéficier d’un confort de vie agréable. Ces travaux permettent également de rendre le logement conforme aux différentes normes de performance énergétique (norme RT2012, HQE, BBC…). Il faut savoir que dans un contexte où le mot «économie » prend une ampleur considérable, ces normes sont des symboles de qualité très appréciées, très recherchées par les investisseurs, les locataires.

Lors de l’achat des matériaux, surtout pour les logements dédiés à la location, il ne faut pas se ruer sur les matériaux de haut de gamme mais plutôt de viser ceux de la gamme intermédiaire. La raison est simple, comme le logement est dédié à la location, il ne faut pas écarter l’optique qu’il y aura une rotation des locataires et qu’à chaque changement de locataire, des travaux ne sont pas à écarter.

couple en négociation de crédit

Astuces pour dénicher un crédit immobilier aux meilleures conditions

Il existe plusieurs moyens de s’avantager d’un taux acceptable voire même compétitif pour l’obtention d’un crédit immobilier. Plusieurs personnes se focalisent sur le taux nominal. Or il n’est pas suffisant pour amoindrir la note relative à un prêt immobilier. En effet, le TEG ou Taux Effectif Global mérite également une attention particulière. Afin de faire le tour sur la question, ci-après 3 principales idées dont vous devez tenir compte pour obtenir un crédit immobilier aux meilleures conditions. Continuer la lecture

La baisse des frais de notaire sur les ventes immobilières

Longuement attendue, cette réforme est entrée en vigueur le 1er mai 2016. C’est Emmanuel Macron, Ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique qui l’a annoncée. Cette réforme, prévue dans la loi Macron, implique une baisse des frais de notaire sur les ventes immobilières et c’est applicable pour les particuliers. Une bonne nouvelle pour le marché de l’immobilier ?

Continuer la lecture

avantages pour la construction d'une maison

Les avantages de la construction face à l’achat d’un bien existant

Lors du choix d’un logement, trop peu sont les particuliers qui pensent à faire construire. Pourtant, face à l’achat d’ancien, cette solution offre de nombreux avantages. Plus flexible, la construction donne également accès à des allègements fiscaux très intéressants. Nous vous avons donc rédigé un guide des avantages en faveur de la construction. Continuer la lecture

tendances immobilier d'entreprise en 2016

Pourquoi investir dans l’immobilier d’entreprise en 2016 ?

C’est bien connu, le placement immobilier représente la préférence des Français en matière d’investissement. Cet article d’Atlantico le montre assez bien. Mais l’investissement dans l’immobilier d’entreprise, notamment sur des biens situés à Paris et dans sa région, est encore plus intéressant. En 2016, les voyants sont plus que jamais au vert et les opportunités sont légion. Il vous revient de les saisir. Voici pourquoi.

Car c’est un investissement sûr et rentable

Quand on fuit les soubresauts des produits boursiers comme les actions, les futures ou les devises, on se réfugie en général sous le livret A ou des formules similaires. Mais comme on le sait, ces derniers instruments n’offrent qu’un potentiel de gain vraiment bas. Alors, pour investir de façon sécurisée, sans voir disparaître, en une seule séance, son avoir, la solution reste la pierre. Si ce type d’investissement a toujours fait des heureux, il demeure encore plus attractif en 2016.

Vous n’avez qu’à comparer les taux possibles avec le livret A avec ceux qu’un investissement dans l’immobilier d’entreprise à Paris peut vous rapporter. Le maximum que vous puissiez espérer avec un livret A, c’est 0,75 %. Dans certaines conditions, ce taux d’intérêt est plus bas que ce seuil. Lisez le Journal du Net, et vous saurez tout le livret A en 2016. En revanche, votre investissement locatif au profit des PME peut vous faire obtenir un retour dans l’ordre de 5 %. Avouez que c’est plutôt intéressant, non ?

Pour un investissement qui ne vous expose pas aux risques des actifs boursiers, on ne peut avoir mieux. De plus, vous pouvez amoindrir les risques en optant pour un investissement par l’intermédiaire d’une SCPI, Société civile de placement immobilier, ou d’un OPCI, Organisme de placement collectif immobilier. Pour en savoir plus sur ces organisations, consultez le site de l’AMF.

 

Les contraintes à gérer quand on investit dans l’immobilier d’entreprise

La gestion de votre investissement réclame une administration qui peut s’avérer importante en fonction des biens mis en location. La perception des loyers est l’une des tâches auxquelles vous devez vous atteler. Dans le meilleur des mondes, il vous reviendra de constater le virement des montants sur votre compte bancaire. Mais quand les impayés commencent par s’accumuler, cela crée de nouvelles exigences à prendre en compte.

Il peut arriver qu’avec un changement de réglementation vous soyez amené à entreprendre des travaux pour adapter les locaux aux nouvelles normes. Il y a aussi la vacance des bureaux qui peut porter un coup de frein au bon déroulement de votre programme d’investissement dans l’immobilier d’entreprise. Cependant, sur ce plan, vous pouvez être rassuré tant que vous choisissiez des locaux à Paris et environs. Le taux de vacance dépasse rarement les 5 %.

 

Et si vous n’avez pas le temps de vous occuper vous-même de la gestion du programme ?

Il est possible de déléguer la gestion de ses biens locatifs. Pour mettre en place cette option, il vous suffit de confier l’administration de vos bureaux à une société de gestion immobilière. La plupart de ces entreprises ont pour tâches principales de trouver des vendeurs ou des locataires pour satisfaire les attentes des propriétaires. Mais d’autres structures comme Optireal ont des compétences plus larges. Sur la base d’un cahier de charge clairement défini, un conseil en immobilier d’entreprise peut :

  • Définir la stratégie d’investissement la plus appropriée à votre portefeuille
  • Vous assister dans l’acquisition des biens
  • Mettre en location vos bureaux
  • Assurer leur gestion de A à Z

Vous profiterez de tous les avantages liés à votre investissement sans devoir faire face vous-même aux exigences de son administration.

La pierre offre d’excellentes possibilités d’investissement. C’est aussi le cas lorsqu’on choisit l’immobilier d’entreprise. Tirez donc profit des opportunités de 2016.

gestion d'un bien

Comment devient-on gestionnaire de biens immobiliers ?

Devenir gestionnaire de biens immobiliers, cela ne s’improvise pas. Ce métier, qui consiste à prendre en charge des biens pour le compte d’un ou de plusieurs clients, s’appuie sur des connaissances approfondies en droit et en matière d’immobilier, et nécessite de réunir de nombreuses qualités. Lisez ce guide pour savoir quelles formations et quelles compétences sont indispensables pour y parvenir.

Qu’est-ce que la gestion de biens immobiliers ?

Le gestionnaire de biens immobiliers diffère de l’agent immobilier en ce qu’il ne joue pas le rôle d’intermédiaire entre un vendeur et un acheteur, mais entre un propriétaire et un locataire, de façon indépendante. Le gestionnaire est mandaté par ses clients pour prendre en charge la gestion de biens immobiliers, qu’il s’agisse d’appartements, d’immeubles, de maisons, d’hôtels ou de locaux commerciaux.

Cet acteur du marché immobilier travaille pour le compte de propriétaires privés (particuliers ou professionnels). Son objectif est gérer, de vendre ou de mettre en location, dans les meilleures conditions, les biens qui lui sont confiés. Il endosse également le rôle de conseil en achat immobilier et en investissement immobilier pour ses clients.

Compétences et qualités qui font un bon gestionnaire de biens immobiliers

La gestion de biens immobiliers est un métier complexe qui nécessite le mélange de nombreuses compétences (savoir-faire) et de qualités personnelles (savoir-être). Avant toute chose, le gestionnaire de biens immobiliers doit se montrer très disponible : visites d’immeubles, contrôles de travaux et imprévus à régler ont tendance à rendre ses horaires plutôt élastiques.

En termes de savoir-être, le gestionnaire de biens immobiliers doit :

  • Montrer des qualités d’administrateur ;
  • Être indépendant et autonome ;
  • Faire preuve d’une rigueur à toute épreuve ;
  • Avoir des talents de négociateur pour trouver l’équilibre entre les intérêts des propriétaires, des mandataires et des locataires, souvent divergents.

En termes de savoir-faire, la formation est essentielle, car la gestion de biens immobiliers implique de solides connaissances en droit immobilier et en techniques du bâtiment. Le gestionnaire doit maîtriser les questions de responsabilité, connaître les différentes assurances nécessaires, être à même de conseiller à ses mandants une bonne couverture face aux risques d’impayés de loyers (voir sur ce site), etc.

Il doit également être capable de conseiller ses mandants à propos d’investissement immobilier et d’achat immobilier, car son rôle ne s’arrête pas à mettre la main sur un acquéreur ou un locataire potentiels.

 

Comment devenir gestionnaire de biens immobiliers ?

Avec la bonne santé du marché immobilier en 2015 et les excellentes perspectives pour l’année en cours, les métiers de l’immobilier ont la cote. Celui de gestionnaire de biens immobiliers ne déroge pas à la règle, et voit s’ouvrir devant les candidats un océan de possibilités de gagner leur vie.

Dans cette optique, le gestionnaire débutant peut :

  • Intégrer une agence immobilière qui s’occupe de gestion de biens ;
  • Se faire embaucher par un cabinet de gestion et d’administration de biens ;
  • Se lancer en tant qu’indépendant ;
  • Travailler avec des particuliers ou des professionnels, pour des biens privés, pour des copropriété – selon ses envies et en fonction des perspectives enrichissantes dans chaque domaine.

Pour ce qui est de la formation, les portes du métier s’ouvrent avec un BTS professions immobilières, un DU Diplôme supérieur d’administration de biens, voire un Bac +2 en comptabilité suivi d’une formation en immobilier. Ensuite, il est possible de poursuivre par une licence professionnelle en immobilier.

Pour se voir confier de plus grandes responsabilités plus rapidement, il est recommandé d’aller jusqu’au Bac +5 : universités (masters professionnels divers), ou écoles spécialisées et privées (EFAB, ESPI, ICH) assurent des formations très pointues.

Dans tous les cas, afin d’exercer, le gestionnaire doit être titulaire de la carte professionnelle en immobilier. Cliquez sur ce lien pour en savoir plus.

Quelles formalités pour vendre son fonds de commerce ?

Vous souhaitez vendre votre fonds de commerce et connaître les différentes formalités à accomplir ? Voici quelques informations clés pour vous lancer dans la vente, en toute sérénité.

Vente d’un fonds de commerce : une opération encadrée

Le fonds de commerce est l’ensemble des biens affectés par un commerçant à une exploitation en vue de la satisfaction d’une clientèle (définition complète). Cet ensemble inclut à la fois des biens corporels, comme des meubles ou du matériel et des éléments incorporels, tels que la clientèle, l’enseigne ou le droit au bail. La transmission de ce fonds de commerce est une opération qui est soumise à une règlementation relativement contraignante. Ceci, pour garantir la protection de l’acquéreur mais aussi des créanciers du vendeur. La vente du fonds de commerce doit impérativement faire l’objet d’un acte authentique ou sous seing privé, établi par un professionnel qualifié.

Salariés de petites entreprises : les obligations

Dans les entreprises qui comptent jusqu’à 249 salariés, ces derniers doivent être obligatoirement informés d’un projet de vente d’au moins 50% du fonds de commerce, au plus tard, 2 mois avant la cession.

Déclaration à la mairie

Le cédant doit obligatoirement adresser à la mairie une déclaration préalable. De son côté, la mairie a 2 mois pour exercer un droit de préemption au nom de la commune.

Acte de vente : les éléments obligatoires

Certains éléments doivent obligatoirement figurer sur l’acte de vente :

  • le prix de vente ;
  • le nom du précédent vendeur, la date et la nature de son acte d’acquisition ;
  • le prix de l’acquisition pour les éléments incorporels, les marchandises et le matériel ;
  • l’état des privilèges et nantissements ;
  • le chiffre d’affaires et les résultats d’exercice des 3 derniers exercices ;
  • les éléments du bail (date, durée, nom et lieu du cédant).

Attention, si ces éléments ne figurent pas sur l’acte de vente, il pourra être annulé.

Diagnostics immobiliers

Il n’y a pas d’obligation directement liée au fonds de commerce. Néanmoins, le propriétaire a malgré tout l’obligation de transmettre des informations concernant l’éventuel bien immobilier lié à ce fonds, tel que des bureaux ou un local commercial. Pour en savoir plus sur les diagnostics immobiliers, cliquez ici.

Publicité

Si l’acheteur le demande, la vente du fonds de commerce doit faire l’objet d’une déclaration au BODACC (Bulletin des Annonces Civiles et Commerciales) dans les 15 jours qui suivent l’acte de vente. Les éventuels créanciers du vendeur ont alors 10 jours après publication pour s’opposer à la vente.

Déclarations fiscales et administratives

L’acquéreur doit s’enregistrer auprès du service des impôts dans le mois qui suit l’acte de cession ou l’entrée en possession du fonds. Cette démarche donne lieu au versement de droits d’enregistrement. De son côté, le cédant doit clôturer ses comptes et effectuer plusieurs déclarations fiscales. L’acheteur doit également s’adresser au centre de formalité des entreprises dont il dépend pour son immatriculation et les déclarations légales ou administratives.

Séquestre

Le prix du fonds est retenu 5 mois, le temps que toutes les formalités soient accomplies.

La vente d’un fonds de commerce est très encadrée, pour la protection de l’acquéreur et des créanciers du vendeur. N’oubliez pas d’effectuer les diagnostics immobiliers obligatoires si des bureaux ou des locaux commerciaux sont liés au fonds de commerce.

Maison usinée : les avantages et les inconvénients

Bien qu’elle soit légèrement différente des autres types de construction, la maison usinée comporte aussi son lot d’avantages et d’inconvénients. Il est donc crucial de bien étudier les options qui s’offrent à vous afin de faire un choix éclairé si vous optez pour une maison fabriquée en usine.

La conception

Les constructeurs de maisons usinées possèdent des catalogues avec des dizaines de plans qui peuvent répondre à une grande variété de besoins. Il existe donc plusieurs options en fonction de ce que vous recherchez : nombre de chambres à coucher, bureau à domicile, plein pied ou à étage, etc.

Malgré ces possibilités, il se peut que vous ayez du mal à trouver quelque chose qui corresponde à ce que vous recherchez. Heureusement, certains fabricants vous permettent de modifier les plans en fonction de vos goûts. Cependant, les modifications ne sont pas toujours possibles. De plus, cette personnalisation augmentera un peu le prix d’achat.

Les types de charpentes

Il existe plusieurs types de charpentes, mais la plupart des constructeurs vont vous proposer le bois. Il s’agit d’un matériau renouvelable, facile à travailler et peu coûteux. Toutefois, ses possibilités architecturales ont une certaine limite. De plus, à long terme, le bois pourrait être endommagé par des moisissures, des champignons ou des termites.

Le bois d’ingénierie peut constituer d’excellents murs porteurs. Il se prête également bien à la création de plafonds très hauts. Par contre, c’est un matériau plus coûteux et il ne permet pas beaucoup de personnalisation, puisque chaque coupe ou trou affecte son intégrité structurelle.

Les charpentes en acier de faible épaisseur se travaillent très bien en usine et leur solidité permet une construction moderne, avec des pièces très ouvertes, de grandes fenêtres ou des porte-à-faux. De plus, il s’agit d’un matériau durable et relativement abordable. Cependant, peu de constructeurs savent travailler les charpentes en acier et il est très difficile de modifier le résultat.

Modules ou panneaux

Une maison usinée peut être fabriquée en modules ou en panneaux. Dans les deux cas, les pièces sont assemblées sur le chantier. La construction modulaire est très intéressante, car les murs intérieurs sont déjà montés et plusieurs éléments, comme les armoires de cuisine ou le bain, sont installés, ce qui réduit le temps de finition. Pour ce qui est de la construction en panneaux, l’assemblage est un peu plus long et ne représente pas nécessairement un gain de temps significatif par rapport à une construction complète sur le chantier.

La finition

Enfin, la plupart des constructeurs vous promettent un projet de maison à Terrebonne clé en main. Cependant, cela n’inclut souvent que les matériaux de base. Donc si vous voulez des armoires ou des couvre-plancher haut de gamme, vous devrez les négocier et sans doute payer un supplément sur le prix de base. Par ailleurs, s’il est vrai que le haut et l’extérieur de la maison sont clé en main, il est très rare que la finition du sous-sol et l’aménagement paysager soient inclus.

Il est donc très important de vérifier et de négocier chaque élément de la construction avant de signer le contrat, autrement l’expérience pourrait s’avérer décevante.