Savoir calculer le coût total d’une location, sans passer à côté d’un imprévu ou d’un détail non stipulé, comprendre la signification de certaines abréviations et savoir comment les interpréter… voici le premier volet de nos conseils pour lire entre les lignes d’une annonces et s’éviter de prendre un logement pour autre chose que ce qu’il est.
Suite à un sondage BVA commandité par la Presse Régionale, la capitale alsacienne se hisse au rang de 6ème grande ville préférée des Français, derrière Paris, Bordeaux, Toulouse, Montpellier et Lyon. La reine du colombage partage sa marche de podium avec Nantes, le tout juste devant Nice, et bien avant Lille et Marseille. Mais qu’en est-il de l’évolution du marché immobilier de cette ville où il semble faire bon vivre ?
Pour choisir son agence immobilière, voici quelques petits tuyaux pour vous guider dans les méandres de l’immobilier !
Si vous envisagez de vendre votre bien immobilier, la première étape consiste à bien choisir son agence immobilière. En effet, une agence professionnelle peut vous faire gagner beaucoup de temps pour une vente rondement bien menée. Aujourd’hui, les agences ne manquent pas et nous allons vous aiguiller pour ouvrir l’œil en grand et repérer les signes distinctifs en fonction des professionnels. Tout d’abord, il ne faut pas hésiter à prendre contact avec plusieurs types d’agences. Des franchisés aux indépendants, le choix est vaste ainsi que les méthodes de vente.
Avec ce premier contact, vous évaluez ainsi les compétences de l’équipe, et ceci vous permet aussi de fixer une estimation de votre bien. Il faut faire jouer la concurrence, tout en ne se laissant pas tenter par des prix de vente annoncés faramineux ! Car l’enjeu est bien là : si l’agence a une excellente connaissance du réseau local, elle doit être capable de vous proposer un prix correspondant à l’état du marché. A vouloir viser trop haut, vous prenez le risque de prolonger la mise en vente durant des mois, avec une réévaluation à la baisse à terme.
Ensuite, votre agence immobilière doit savoir vous informer sur l’ensemble des documents techniques à réunir au moment de la transaction. D’autant que de nouveaux diagnostics techniques viennent de s’ajouter au dossier de vente ! Enfin, il est primordial d’examiner les produits de vente de l’agence immobilière. De quelle façon sont mises en avant les résidences ? Les prix sont-ils faramineux ? Les photos sont-elles claires, ainsi que le texte d’annonce ? Ces petites astuces vous aideront à choisir votre agence en toute conscience !
Tout le monde n’a pas les moyens de devenir propriétaire d’une résidence pour senior, ce qui n’est pas une raison pour ne pas quand même vouloir y résider. Et pour ceux et celles dont le patrimoine ne permet pas d’autofiancer la location d’un tel logement, voici un rappel des différentes allocations d’Etat à solliciter.
Acquérir un logement dans une résidence pour senior, c’est s’offrir une retraite placée sous le signe de la liberté et de l’autonomie, au sein d’une structure favorisant la mixité sociale et les liens intergénérationnels. Mais c’est aussi un investissement judicieux, tout aussi confortable pour l’acheteur et futur bénéficiaire, que pour ses proches et ses héritiers.
Face à la montée de la délinquance et à la recrudescence des vols, il y a plusieurs façons d’agir. Qu’il s’agisse de dissuader les cambrioleurs, de les appréhender la main dans le sac ou de tenter de les retrouver, voici un point qui rassemble les dispositifs gouvernementaux et les procédures individuelles.
Les cambrioleurs se suivent et ne découragent pas, et les effractions se multiplient, portant atteinte à l’intimité, au patrimoine et à la sécurité des résidents. À l’heure où la lutte contre le cambriolage est devenue une priorité gouvernementale, voici quelques conseils pour dissuader les visiteurs indésirables et pour se prémunir contre le vol.
C’est la hantise de tous les propriétaires : les loyers impayés sont le point de départ d’une procédure coûteuse, dont on ignore généralement la durée, et surtout l’issue, et dont on n’est pas sur de ressortir gagnant. Alors comment procéder quand on est confronté à cette problématique épineuse ? Focus sur une longue route à suivre, particulièrement encombrée d’embûches et d’aléas.
Quand on essuie les plâtres de la recherche de logement, pas facile d’éviter les écueils de l’empressement, les déconvenues, les mauvaises surprises et les découverts bancaires. À moins de penser à tout, ou presque…
Alors que la conjoncture immobilière bretonne patauge dans la morosité et que le volume des transactions est en chute libre, les propriétaires et les promoteurs installés à Dinan tirent plutôt bien leur épingle du marché.
La tendance régionale ne change pas de cap depuis un an : il y a bien plus d’offres de vente que de demandes, et cela entraine un tassement inévitable des transactions et un net recul des statistiques. Le marché enregistre ainsi contre vents et marées une baisse de 43% sur les ventes de logements neufs et une chute de 25% sur celles de terrains à bâtir. Même sur la côte, les prix sont à la baisse et les transactions se négocient au bras de fer.
En dehors des biens de prestige qui (clientèle internationale oblige) ne connaissent jamais la crise, la ville de Dinan bénéficie de son côté d’un micro-climat d’attractivité immobilière, n’en déplaise à St-Malo, Dinard et Rennes, ses charmants voisins et agents de séduction. La petite agglomération bretonne qui sait se faire discrète et agréable constate ainsi une augmentation moyenne de 4,5% sur le prix de vente de ses maisons, et un bonus de 2,5% sur celui de ses appartements. À bon entendeur acheteur, vendu !