Face à la montée de la délinquance et à la recrudescence des vols, il y a plusieurs façons d’agir. Qu’il s’agisse de dissuader les cambrioleurs, de les appréhender la main dans le sac ou de tenter de les retrouver, voici un point qui rassemble les dispositifs gouvernementaux et les procédures individuelles.
Investir pour se protéger : vidéo-surveillance ou équipement renforcé ?
Bien qu’ils ne puissent empêcher une effraction, les capteurs, les caméras et les systèmes de protection de domicile restent un excellent moyen de la dissuader et surtout, de l’alerter. Un cambrioleur passera moins de temps à piller un appartement ou une maison dans laquelle l’alarme a été donnée, et où ses moindres faits et gestes sont enregistrés, mais il aura quand même le temps de se saisir d’un objet de valeur, d’une carte de crédit ou d’un chéquier. Voilà pourquoi tant qu’à investir, il vaut mieux ajouter des points de serrure, blinder des portes et changer des volets, ce qui barrera vraiment la route à un visiteur indésirable et qui l’empêchera vraiment de rentrer.
Porter plainte et aider les forces de l’ordre à interpeler.
Dans chaque département, les forces de l’ordre disposent d’une cellule de lutte contre les cambriolages vouée à attester des vols, à relever les indices, à recouper les actes de malveillance et à appréhender les malfrats. D’où l’importance de porter plainte après une effraction, de ne pas trop vite changer les serrures, et de disposer d’une bande de vidéo-surveillance à fournir aux autorités. À la disposition des victimes ou des simples témoins, un numéro d’urgence est à composer (17 ou le 112), et ce réflexe est primordial pour engranger la poursuite des voleurs et permettre de les interpeler.