Disposant d’une fiscalité attractive, permettant de fixer des loyers plus élevés, la location meublée est très souvent citée comme une solution pertinente pour réaliser un investissement locatif ultra-rentable. Continuer la lecture
Archives de catégorie : Louer
Conseils pour location étudiante
En septembre, les étudiants retrouvent les bancs de l’université, les amphis et les partiels. Continuer la lecture
Et si Facebook vous aidait à vendre/achat/louer ?
Regardez bien votre fil d’actualité sur Facebook, observez la page d’accueil de Google + ! Continuer la lecture
L’abattement s’applique sous certaines conditions
Certaines conditions permettent aux bailleurs de bénéficier d’abattement sur la perception de loyers de biens immobiliers qu’ils louent. Continuer la lecture
La location saisonnière
A l’approche des vacances, et beaucoup à cause de la crise, de nombreux propriétaires pensent à mettre en location leur bien immobilier (que ce soit en campagne, à la ville, au bord de la mer ou à la montagne) afin de se constituer un petit pécule non négligeable s’ils ne comptent pas occuper les lieux de leur résidence principale. C’est ce que l’on appelle de la location saisonnière, car elle n’a généralement lieu qu’au cours de certaines saisons. Continuer la lecture
Bail commercial ou professionnel ?
Il existe de nombreuses différences entre ces deux baux, c’est pourquoi il est important d’en dénombrer les caractéristiques propres. Continuer la lecture
Infographie sur les chiffres de l’immobilier en 2013
2013 a été une année assez rude pour le secteur de l’immobilier, et nous avons trouvé une infographie très complète, qui saura vous faire un récapitulatif de l’année précédente.
Globalement, il faut retenir qu’en 2013 :
- les prix des logements anciens (sur appartements et maisons) en province ont baissé de 1,1% par rapport à 2012
- les prix des logements anciens (sur appartements et maisons) en Ile-de-France ont baissé de 1,2% par rapport à 2012
- la construction de logements a chuté de 12,8%
- les transactions immobilières ont diminué de 13,1%
- 57% des Français sont propriétaires
- la taxe foncière a massivement progressé de 1,8%
- le prix moyen du mètre carré en France est à 2 113€
- les taux d’emprunts sont au plus bas niveau historique depuis 1945, soit 2,89%
Choisir sa caution
Que l’on soit tout seul à occuper un logement, ou un groupe d’amis, dans tous les cas il faut verser une caution locative qui est un dépôt de garantie en cas d’impayé ou de dégradation des pièces.
Définition de la caution
Il existe deux sortes de cautions : la classique et la solidaire. La caution, c’est une avance gratuite : le propriétaire prévoit qu’il y aura des détériorations, il encaisse le chèque au moment de la signature du contrat de bail. Puis, si l’appartement est dans le même état à la sortie qu’il l’était à l’entrée, il vous restituera le chèque. Par contre, si, lors de l’état des lieux, le propriétaire de votre logement constate qu’il y a des dommages, il pourra en estimer les frais et se servira de l’argent de la caution pour les régler.
La caution solidaire
La caution solidaire est une garantie apportée à un bailleur : une fois signée, le cautionnaire (personne physique ou morale) s’engage à exécuter le contrat dans le cas où le locataire ne serait pas à même de le respecter lui-même. Si un propriétaire constate un premier impayé, il va directement se tourner vers la personne qui a signé la caution solidaire, sans même contacter au préalable le locataire. La caution recevra une lettre recommandée avec avis de réception et devra immanquablement s’acquitter du montant dû, sous peine de se voir dans l’obligation de verser non seulement le loyer impayé, mais aussi des pénalités de retard.
En cas de colocation
Ce contrat, à la différence d’une caution classique, traite les locataires (dans le cas d’une colocation par exemple) comme s’ils ne formaient qu’une seule et même personne : à ses yeux, le groupe devient unité. Ainsi, si l’un des locataires ne peut assurer de régler sa mensualité, ses colocataires seront obligés, par ce contrat, de s’en charger pour lui. Dans un autre cas, si l’un des locataires désirait partir sans avoir donné congé, il devrait se « désolidariser » et les locataires qui restent devront établir et signer un nouveau contrat de location, dans lequel il sera précisé qu’ils se chargent de payer la part de celui qui quitte le logement. De plus, il sera impossible aux locataires qui restent de trouver un nouveau coloc car c’est interdit par les règles de la clause du contrat de solidarité. Si, en revanche, il donne congé, il devra assurer les mensualités du loyer jusqu’au terme du contrat de location.
L’Indice de Référence des Loyers
Publié chaque trimestre par l’INSEE, l’IRL permet d’évaluer l’augmentation des loyers.
Définition de l’IRL
Il se calcule à partir de la moyenne, sur les douze mois précédents, des indices des prix à la consommation (sauf tabac et loyers). Ainsi, les propriétaires bailleurs ont la possibilité de lutter contre l’inflation, et les locataires n’ont plus la mauvaise surprise de voir augmenter leur loyer de façon brutale et inattendue. Chaque contrat de location d’un bien immobilier non meublé induit, dans une clause d’indexation, la révision du loyer : elle a lieu soit à la date convenue entre le propriétaire et le locataire, soit au terme annuel du contrat. Cette révision se fait exclusivement sur la base de l’indice publié par l’INSEE.
Le calcul se fait ainsi : le nouveau loyer correspond au résultat obtenu lorsque l’on multiplie l’ancien loyer par le nouvel IRL du trimestre retenu, le tout divisé par l’ancien IRL du trimestre retenu.
Exemple
De ce fait, si un loyer est fixé à 800€ en avril 2014, indexé selon l’IRL du premier trimestre (soit 125), le nouveau loyer équivaudra à 800 * 125 / 124,25 (ancien IRL du trimestre retenu) = 804,82. Le loyer pourra donc subir une hausse de 4,82€.
Erreur à ne pas commettre
Attention à ne pas confondre la révision du loyer (que nous venons d’étudier), l’augmentation du loyer (qui a lieu lors d’un renouvellement de bail) et la majoration du loyer (qui peut être opérée au cours du bail suite à la réalisation entreprise par le bailleur, de travaux de rénovation.) N’hésitez pas à consulter une agence immobilière afin de vous faire conseiller et de prendre connaissance de toutes les informations relatives au marché de l’immobilier.
La colocation : ultime solution ?
Combattre la solitude ou économie d’argent, tout le monde s’y retrouve. Et surtout les personnes de moins de 30 ans.
Avantages principaux.
Les prix de l’immobilier n’ont jamais été aussi élevés, et il devient assez compliqué pour les budgets ne serait-ce que moyens de parvenir à trouver des logements dont le loyer corresponde à leurs critères. La réponse intermédiaire est de vivre en colocation, pour partager les frais. Mais pas seulement ! Le mode de vie à plusieurs est devenu très tendance chez les jeunes, qui veulent éviter la solitude et partager une expérience. Prendre des repas, regarder un film ou écouter de la musique est toujours plus agréable quand on peut le faire avec son colocataire. Ces scènes de vie quotidienne font partie des bons moments qui ponctuent notre journée. Exception à l’époque, ce mode de logement est devenu un « passage obligatoire ». Que l’on aime ou que l’on s’y sente moins à l’aise, la colocation s’est transformée ces dernières années en expérience à vivre.
Ceux auxquels on pense après.
C’est partager un loyer, certes, mais c’est aussi se répartir les taches ménagères et les frais de bouche, tout comme les dépenses exceptionnelles (plomberie, électricien). C’est habiter dans un logement plus grand et payer moins cher, tout en bénéficiant des aides au logement de la CAF.
C’est également rencontrer des personnes, accroître son réseau social, être sûr de compter sur quelqu’un en cas de pépin. C’est découvrir une autre culture, une autre façon de penser, voire parler une autre langue pour ceux qui ont la chance de vivre avec des étrangers !
Avantage pour les bailleurs.
Et pour les propriétaires, c’est un sacré bénéfice : en règle générale, le loyer d’un même logement peut être revu à la hausse de 15 à 20% pour une location destinée à de la colocation par rapport à celle d’un couple.