La semaine dernière, une étude sur les tendances immobilières françaises (à l’échelle nationale et francilienne) de 2014 a été révélée par les Notaires de France.
Selon cette étude :
- les douze derniers mois ont enregistré une hausse du nombre de transactions de logements anciens, mais une baisse globale par rapport aux années 1999-2007 (soit juste avant la crise des subprimes)
- les régions n’ont pas le même trafic de transactions : par exemple, s’il a beaucoup progressé en Meurthe-et-Moselle, il a fortement chuté en Côte-d’Or
- les tarifs de l’immobilier ancien ont baissé en province, alors que ceux des maisons restent stables
- les prospects ayant moins de 30 ans ont plus de mal à accéder à la propriété (-0,8% sur les appartements anciens)
- alors que les personnes de plus de 60 ans représentent une part de marché plus important que l’année dernière (+0,7% sur les appartements anciens)
- les tarifs de l’immobilier franciliens ont très faiblement diminué
- les biens immobiliers (appartements et maisons confondus) sont plus prisés à Paris
- les maisons en petite couronne coûtent légèrement plus cher
- à Paris, le prix moyen est de 8 110 € le m2
- pour 150 000 €, on peut s’offrir un studio dans le 18e arrondissement de la capitale, tandis qu’avec 500 000 € on peut viser le 3 pièces à Paris, ou la maison de 6 pièces à Montreuil